Decolméca Ibert ; décolletage et mécanique de précision

Saint-Benoît-du-Sault – Decolméca Ibert, entreprise familiale fondée en 1990 par Marc IBERT, a pour principales activités le décolletage et la mécanique de précision du prototype, aux petites et grandes séries de pièces de diamètre de 3 à 360 mm.

Decolméca – Saint-Benoît-du-Sault

« Decolméca Ibert est spécialisée dans le tournage automatique des métaux et plastiques, l’usinage de précision et de qualité de pièces, en sous-traitance, suivant plans ou modèles. L’entreprise intervient en France et en Europe dans plusieurs secteurs d’activité tel que l’aéronautique, la machine outils, l’industrie alimentaire, les équipements électriques » indique Marc IBERT, le dirigeant fondateur.

Implantée sur 2 sites de 750 m2 et 550 m2 en zone industrielle à Saint-Benoît-du-Sault, Decolméca Ibert possède un « parc de machines performant, composé en majorité de tours CN, qui lui permet d’usiner tous types de matériaux comme l’acier, l’inox, le laiton, le cuivre, le bronze, l’aluminium et le plastique pour produire des pièces toujours plus complexes en petites séries et grandes séries« . Son effectif est de 12 personnes. L’entreprise réalise toutes les opérations de parachèvement mécanique ou de traitement : « décolletage, usinage en lopin, usinage de tout type de métaux ou plastiques, tournage, fraisage, rectification (tolérance de + ou – 0.01mm), ajustage, montage d’ensembles » précise Marc IBERT.*

Depuis 26 ans, Decolméca Ibert connaît un développement permanent. L’entreprise s’est attachée à développer un savoir-faire reconnu ; attentive à l’évolution de son métier elle a mené une « politique d’investissement qui s’est traduite par plus d’1,5 M € d’investissement sur les 10 dernières années » souligne Marc IBERT. Ses moyens de production (7 tours numériques, 1 fraiseuse centre d’usinage) permettent de répondre à toutes les demandes de décolletage et d’usinage de précision et de qualité avec fiabilité et réactivité. En cours de recrutement, l’entreprise « manque de main d’œuvre, ce qui freine son développement« , souligne Marc IBERT, « on manque d’usineurs, le constat n’est pas nouveau ; mais depuis la fermeture d’une formation en mécanique (tournage, fraisage) au Lycée professionnel d’Argenton-sur-Creuse, il n’y a plus de formation correspondant à ce métier« . Seul décolleteur du département, Decolméca Ibert prévoit des investissements en 2017 pour maintenir ses avantages concurrentiels ainsi qu’une extension de son site de production.