Spécialiste en CAO/DAO, Alain GRANDPERRIN a créé en octobre 2013 GCI (Grandperrin Conception & Ingénierie), un bureau d’études de développement de prototypes industriel. L’entreprise installée au Poinçonnet propose plusieurs services : l’étude, la conception de pièces, d’automatismes intégrant des composants spécifiques (machines spéciales, postes de travail, structures alu), la conception et la réalisation de prototypes et pièces pour l’industrie, via une unité de prototypage rapide par fabrication additive.
GCI – Grandperrin Conception & Ingénierie – Le Poinçonnet
GCI dispose d’une « imprimante 3D très haute définition à dépôt de résine (la 1ère en Région Centre) avec une précision au 100ème de mm, à partir de fichiers natifs 3D tous formats, convertis en STL » précise Alain GRANDPERRIN. Équipée d’outils de CAO/3D haut de gamme, l’entreprise élabore des plans structurés avec des esquisses 3D à calculs de dimensions automatiques, réalise des vidéos techniques d’assemblages, des nomenclatures de fabrication…; elle « propose un savoir-faire en prototypage rapide à des fins de R&D » indique Alain GRANDPERRIN.
GCI – Grandperrin Conception & Ingénierie – Le Poinçonnet
Avec cette technique, GCI permet aux entreprises de « réaliser des pièces grandeur réelle ou modèle réduit, fabriquées sans moule » dans un délai très court. « L’impression 3D permet de fabriquer des prototypes (de design, forme, ergonomie, fonctionnement, faisabilité, intégration) de grande qualité de finition et de précision qui peuvent être utilisés comme pièces utilitaires ». Suivant les besoins, GCI accompagne les entreprises dans « l’étude, la conception, la réalisation de modèles et prototypes, les simulations informatisés de résistances mécanique, de forme, d’ajustement et fonctionnalités, le contrôle de pré-production, la production de petites séries ». Ces services permettent d’étudier et de créer des pièces, des ensembles, de tester leur fonctionnement et les réadapter pour transformer rapidement une idée innovante en produit réel tout en réduisant les coûts liés aux prototypes et aux essais. GCI, qui a « investi 100 000 € dans ses équipements », prévoit de développer ses activités de numérisation 3D pour offrir de nouvelles prestations dans « les domaines de la digitalisation, la rétro-conception, le contrôle avant lacement en grande série ».
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