Le Conseil Général, la Ville de Châteauroux et la CCI travaillent conjointement depuis 27 ans à la structuration, au soutien du pôle universitaire de Châteauroux aux côtés de l’Université d’Orléans. Depuis 1988, date de l’implantation d’une antenne de la faculté de droit et ses filières DROIT et AES, l’offre d’enseignement supérieur a beaucoup évolué.
Louis Pinton, Sénateur, Président du Conseil Général, Paulette Picard, Présidente de la CCI, Antoine Bonneville, Président de l’ADESI, Youssoufi TOURÉ, Président de l’Université d’Orléans, Gil AVEROUS, Maire de Châteauroux, Président de Châteauroux Métropole
L‘Écocampus regroupe aujourd’hui le pôle d’enseignement et de recherche du département dans un cadre privilégié ; y sont implantés 8 établissements d’enseignement supérieur, CES, IUT, Polytech, ESPE, HEI, CESI, CCI Campus Centre, CNAM, des laboratoires de recherche, 1 400 étudiants et des équipes d’enseignants-chercheurs. Élément structurant du territoire, ce pôle d’enseignement supérieur connaît un rayonnement au niveau régional et national en raison de sa concentration de formations supérieures, de matière grise et dispose de fortes capacités de développement.
Afin de renouveler le partenariat qui régit leur relation et le fonctionnement du CES Centre d’Études Supérieures, le 16 février dernier, une convention de partenariat a été renouvelée entre Youssoufi TOURÉ, Président de l’Université d’Orléans, Antoine BONNEVILLE, Président de l’ADESI, l’Association pour le Développement de l’Enseignement Supérieur dans l’Indre, Louis PINTON, Sénateur, Président du Conseil Général, Gil AVEROUS, Maire de Châteauroux, Président de la CAC, et Paulette PICARD, Présidente de la CCI. « Cette convention ne réduit pas la participation des collectivités à un simple partenariat financier à travers l’ADESI pour financer l’enseignement dispensé mais à une dynamique de projets au service du développement du territoire » a rappelé Paulette Picard. Le CES devrait d’ailleurs ouvrir, lors de la prochaine rentrée 2016, « une nouvelle licence professionnelle sur l’eau (par apprentissage en 1 an), la 1ère proposée en France » ont annoncé Youssoufi TOURÉ et Antoine Bonneville. Elle permettra de « valoriser, développer des synergies entre les atouts du département« , son patrimoine de « ressources naturelles » (étangs, lacs), l’unité de géothermie de St Jean, « la recherche avec les enseignants chercheurs du CES qui sera ciblée sur une problématique du territoire » et « les pôles de compétitivité DREAM et S2E2… » Elle permettra de « créer une filière, des emplois nouveaux consacrés à la gestion, à la maîtrise de l’eau (bureaux d’études, cartographie, écotechnologies…), ainsi que des services autour de cette thématique » pour répondre aux besoins relatifs à l’eau et ses milieux.
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